Sommaire
Les galeries d’art à Paris ont la capacité d’attirer un public éclectique, composé de novices perdus, d’amateurs d’art sans le sou et de collectionneurs extrêmement riches. Découvrez dans cet article les meilleures galeries d’art de Paris.
Galerie Emmanuel Perrotin
Cette galerie est placée dans un élégant hôtel particulier du quartier du Marais, il est l’une des figures de proue de la scène artistique parisienne : il ne se contente pas d’être à la tête de la galerie hongkongaise, ni de collectionneur François Pinault est répertorié comme son client.
Il a récemment dirigé ses bateaux dans le domaine du design, exposant des artistes clés tels que Robert Stadler et Eric Benk. Quant à l’art contemporain, les galeries qui ont fait leurs débuts à Beaubourg en 1992 se multiplient.
Galerie Thaddaeus Ropac
Les activités de Thaddaeus Ropac se concentrent dans sa galerie de Salzbourg, ce qui n’empêche pas son espace parisien de proposer une programmation foisonnante, pleine d’Andy Warhol, Tom Sax, Elaine Stewart ou encore Alex Ka American Pop Art by Roberts.
Successeur de cette branche de l’art moderne, la scène européenne occupe également une place prépondérante dans les trois étages de la galerie : Antony Gormley, Erwin Wurm, Sylvie Fleury, Tony Cragg, Gilbert & George.
Polka Galerie
Polka Galerie s’engage pleinement dans le photojournalisme, en montrant le travail de photographes critiques comme Ethan Levitas, Matt Henry, Reza, Daido Moriyama et Françoise Huguier.
Les images racontent le plus souvent des histoires de nature sociale ou politique. En plus, il y a cette particularité : l’exposition de la rue Saint-Gilles a résonné avec le magazine Polka, ancien trimestriel (aujourd’hui bimensuel), créé par l’ancien directeur du concours parisien, Alain Genestar.
Galerie Georges-Philippe & Nathalie Vallois
L’expression conceptuelle, dans la plupart des cas, à une touche de subversion et un petit star system : les galeries George-Philippe et Natalie Vallowa sont plus ou moins situées ici.
Une série d’anti-traditions marquantes qu’ils défendent le prouve, comme le provocateur américain Paul McCarthy ou le Britannique Keith Tyson, dont le comportement extravagant post-YBA (Young British Artist) a remporté le Turner Prize en 2002.